LIBRES PAROLES : RICHARD MARTIN, LE SEIGNEUR DU TOURSKY
Le Crayon – Le T.N.P. en son temps avait souhaité porter le théâtre dans la demeure même des travailleurs… Quand dans les années soixante dix tu as créé le Théâtre Toursky, était-ce une façon de poursuivre cette aventure ?
Richard Martin – Certes, mais plus particulièrement le théâtre populaire, tel que l’avait expérimenté, avant tous, André Antoine, puis le Cartel. Vilar c’est bien plus tard. Quand j’ai quitté Paris, je pensais que la démarche de Vilar n’était pas suffisante. Le théâtre de Vilar s’adressait surtout à des gens qui avaient déjà une conscience politique. À des syndicalistes, des professeurs, des instituteurs, ou des gens prêts du Parti Communiste. Je voulais que le théâtre ne soit pas réservé à un cercle de privilégiés quels qu’ils soient, d’une inteligencia ou de la bourgeoisie. Je voulais toucher les loubards, toucher les gamins un peu rebelles. Ma prise de conscience s’est faite juste avant soixante huit. Après les événements de mai 68, j’ai pris ma valise et ai décidé de revenir au bord de la Méditerranée. À paris j’avais commencé dans le théâtre de boulevard. J’avais travaillé avec des gens très connus comme Bourvil, au théâtre de l’Alhambra ou encore Robert Lamoureux. Jusqu’à ce que je comprenne que ce n’était pas ça que je voulais faire. Je suis alors passé sur la Rive gauche. Je suis allé travailler au Vieux Colombier. En accord avec les réflexions d’Antoine, j’ai poursuivi mes réflexions sur la décentralisation, mais Vilar, me semblait « bourgeois de gauche ». En 68, j’étais totalement impliqué dans le forum de l’Odéon. Dans le souffle poétique de cette insurrection qui a été pour moi décisive.
Donc je décide de retourner dans le sud, mais pas à Nice où je suis né mais à Marseille, où j’avais fait à l’occasion d’une tournée quelques années plus tôt un spectacle qui avait eu beaucoup de succès. Nous étions venus faire les quinze derniers jours du Théâtre de l’Alcazar. À cette occasion j’avais pu respirer cette ambiance particulière que Marseille offre avec ses multiples croisements. Et donc cette mixité là m’avait séduit et j’avais gardé ça comme un souvenir précieux. Aussi quand j’ai décidé de repartir vers la Méditerranée, je suis venu à Marseille avec le souvenir de ce temps, mais aussi une piste théâtrale qu’était le Théâtre Quotidien de Marseille, qui avait vu les premiers pas de Vitez, de Monod, Vial…et de tant d’autres qui étaient dirigés par Michel Fontaine. Ils n’avaient pas eu le bonheur de plaire aux politiques du moment et avaient été obligés de finir leur aventure dans ce hangar que j’ai retrouvé, puisque je suis allé sur leurs traces, et que j’ai baptisé Théâtre Toursky.
Le Crayon – Qui était Toursky ?
Richard Martin – Toursky est un poète qui est mort le jour où j’ai mis les pieds dans ce local. Et comme j’en avais marre des clichés idiots trimballés autour de Pagnol, qui était la gloire du moment, donc en réaction, j’ai baptisé mon théâtre du nom de ce poète d’origine russe qui avait fait partie de la bande des surréalistes et qui avait vécu à Marseille.
Le Crayon – Tu faisais déjà de la mise en scène ?
Richard Martin – Non, jusqu’ici je n’étais qu’acteur.
Quand en 68, j’arrive à Marseille, j’ai commencé pendant deux ans par assurer la direction artistique d’un théâtre, le Théâtre Massalia, où j’ai joué pendant un an « Le Jounal d’un fou », de Gogol, où j’étais tout seul en scène. Tania, ma compagne et la mère de mon fils, qui était aussi actrice et qui m’avait suivi dans l’aventure, en avait fait la mise en scène. C’était le seul théâtre ouvert dans cette ville et petit à petit, pendant un an, j’ai fixé un public. En 1970, je décide d’ouvrir le Théâtre Toursky, et grâce à Léo Ferré, qui est venu m’aider à l’ouvrir, le public est venu jusqu’à nous et petit à petit, avec tous les autres copains comme Bedos, Devos, Nougaro, Moustaki, Maxime Le Forestier, Barbara…, tous ces gens qui étaient des vedettes à ce moment là, sont venus m’aider pour que je puisse faire mes propres créations. En même temps je faisais des films et continuait à faire de la télévision, et j’injectais avec Tania, tout ce que l’on gagnait dans cette aventure. Tous sont venus grâce à Léo, car je ne les connaissais pas au départ. C’est Léo qui m’a aidé.
Le Crayon – Comment s’est fait cette rencontre avec Léo Ferré ?
Richard Martin – Par l’intermédiaire d’un garçon que j’avais connu à Paris et qui était un poète marseillais ; Il avait travaillé avec Caussimon, avec Léo… et quand j’ai décidé d’ouvrir le Toursky, il lui a téléphoné en lui disant : « Il y a un copain, qui est fou et qui veut faire un truc dans le quartier le plus déshérité de Marseille, tu veux pas lui filer un coup de main. » Et il est venu illico, et çà a été le début d’une fraternité indéfectible. Voilà.
Ensuite on a écrit ensemble « L’Opéra des rats », puis il m’a donné tous les grands textes que j’ai promené un peu partout dans le monde que ce soit « La technique de l’Exil », « la Méthode », « Alma Matrix », « L’Imaginaire », « Le Style », « L’Anarchie » , « la Mémoire et la mer » … Tous les grands textes. chaque texte faisait un spectacle que j’ai créé chaque fois, pour servir le poète qui est, je pense, un des plus grands poètes du vingtième siècle.
Le Crayon – La première fois que Léo Ferré est venu c’était en quelle année ?
Richard Martin – 1970. C’est comme çà que les gens ont pris le chemin de ce théâtre.
Le Crayon – Peux-tu me parler du Théâtrobus ? De quoi s’agissait-il ?
Richard Martin – Cela faisait partie de cette mission que je m’étais donné d’aller dans les cités. Il s’agissait d’un autobus réformé de la ville que j’avais transformé avec des plateaux en théâtre itinérant. Edmonde Charles-Roux avait accepté d’en être la marraine et Robert Vigouroux le parrain. J’allais dans les cités H.L.M. déployer mes tréteaux et je jouais à l’intérieur des cités les spectacles que j’avais créés au Toursky. Je voulais que ceux-là qui n’auraient jamais mis les pieds dans mon théâtre, se rendent compte que c’était aussi possible pour eux d’accéder à cet échange exceptionnel que nous offre le théâtre.
Ce n’était pas toujours facile, mais j’étais très costaud. Le plateau faisait douze mètres sur huit.
Le Crayon – Comme Molière avec sa troupe l’Illustre Théâtre ?
Richard Martin – C’était tout à fait ça… J’avais fait des adaptations comme un Roméo et Juliette des banlieues, où je mettais en scène des saltimbanques itinérants, des gitans. Le spectacle était en quelque sorte une mise en abyme, puisque les gitans étaient censés jouer Shakespeare, mais l’acteur qui jouait Roméo, tombait amoureux d’une fille d’une cité. La scène du balcon donnait lieu à une cascade où mon Roméo grimpait par une façade d’immeuble. Et l’on voyait la matrone venir gueuler pour qu’il redescende et retirer sa Juliette des pattes de l’égrefin. Tout ça se finissait par une dispute entre les nomades et les sédentaires et les enfants se cassaient en voiture. On entendait un grand bruit, un accident et à l’occasion de ce malheureux incident, les familles prenaient conscience de leur connerie.
Je jouais des classiques mais dans des adaptations. Je faisais passer des scènes de Shakespeare dans une proposition moderne et contemporaine où je mettais en scène les gens de ces cités.
Le Crayon – Et-ce qu’il t’arrivait de faire jouer des jeunes de ces quartiers ?
Richard Martin – Plus que ça. Au Toursky, j’ai monté le spectacle que j’avais créé avec Léo, « L’Opéra des rats ». Léo en avait fait les dialogues et moi le scénario.
Pendant un an, j’ai travaillé avec des gens qui faisaient partie d’une association, qui s’appelait le PLIS. Le Plan d’Insertion… Une vingtaine de garçons et filles. C’étaient des gens du quartier. De tous les âges. Ils ont travaillé pendant 9 mois avec moi. Parallèlement, j’ai fait venir vingt comédiens professionnels et on a mixé ce travail et ont a présenté ce spectacle où personne ne savait qui était les comédiens amateurs et les professionnels. La musique était en partie de Léo mais aussi d’un groupe Leda Atomica, un groupe rock /punk marseillais avec lequel je travaillais. Des compagnons de route aussi.
Depuis l’ouverture du théâtre en soixante dix, tous les ans je fais un hommage à Léo, le poète.
Le Crayon – Ton approche du théâtre est-elle aussi une façon de contribuer à une éducation populaire ?
Richard Martin – Nous avons au Théâtre une Université Populaire qui permet à tous ceux qui n’ont pas eu la chance de rencontrer « les savants », ou ceux qui savent ou qui croient savoir, peuvent sans montrer patte blanche venir « s’instruire » sur tout ce qui doit être entendu, écouté ou réfléchi.
Le Crayon – Comment concilier une démarche artistique et une démarche citoyenne ?
Richard Martin – Il y a une formule de Léo qui parle des artistes et qui dit : « Notre langage à nous autres artistes est à la portée de toutes les oreilles et de tous les yeux, parce qu’il est chant, lumière, galbe, sourire. C’est donc à nous de préparer votre révolte. Nous écrivons la psychologie de la révolte avec des techniques d’oiseaux. Nous marchons sur le ventre des tyrans avec des pattes d’oiseaux, nous donnons l’alarme avec des cris d’oiseaux. »
Je pense que cette formule : « Nous donnons l’alarme avec des cris d’oiseaux », correspond complètement à ma mission de saltimbanque. Je ne peut pas imaginer que l’on puisse créer, uniquement en se penchant sur une esthétique. On ne peut pas ne pas se mêler de ce que l’on regarde quand on crée. En tout cas, moi c’est mon créneau. Et je n’ai cessé de le redire. Porter la mémoire de l’intelligence des autres commande d’être un guerrier de la culture. Être toujours en première ligne et dénoncer les fadaises portées par tous les pouvoirs.
Le Crayon – En temps que metteur en scène, quelle part de liberté laisses-tu à l’acteur ?
Richard Martin – Ca dépend de l’acteur ou de ce qu’il propose. J’ai essayé au début que tout cela soit créé ensemble. Mais je me suis rendu compte très vite que la création collective était un mythe. J’ai eu beaucoup de déceptions sur la création collective. Il y a des moments où l’on peut s’ouvrir aux propositions. Il y a des moments qui exigent de tenir le travail, de coordonner l’ensemble pour que ça tienne et qu’il y ait de la magie. Après… c’est la part du feu.
Dernièrement j’ai fait en coproduction avec la Philarmonie Marseille Méditerranée et l’Opéra de Marseille, la mise en scène de « La Flute enchantée » et de « Carmen » au Dôme où il y des milliers de personnes qui peuvent venir. Il y avait deux cents personnes sur le plateau. J’aime beaucoup travailler avec énormément de gens sur le plateau. Mais ça devient rare. Moi même, seul, je n’ai pas les moyens.
Le Crayon – On parle souvent du théâtre Toursky comme d’un lieu de convivialité. Quels en sont les outils ?
Richard Martin – Parce que c’est un théâtre et que tous les théâtres devraient l’être.
On rentre dans certains théâtres comme on va dans une clinique. Quand les gens viennent ici, ils restent parfois jusqu’à trois, quatre heures du matin. Tout est ouvert, tout est partagé. Je ne peux pas imaginer que ce soit autrement. C’est un espace de résistance et de fraternité. Si c’est pas ça, ça ne m’intéresse pas. Tous les théâtres devraient être comme ça.
J’ai la chance aussi d’avoir un espace qui s’appelle « Les Frangins d’la Night », l’espace Léo Ferré est un lieu où l’on peut se restaurer, poursuivre avec les artistes, les spectacles, les rencontres, partager, tout le monde est ensemble… Les gens qui viennent au Toursky, sont dans l’esprit du théâtre. Ils préservent quelque chose de cet humanisme qui pour moi est fondamental dans des aventures de culture partagée.
Le Crayon – La place de Marseille tournée vers les pays du pourtour méditerranéen, a-t-elle une incidence sur ta programmation ?
Richard Martin – Oui, par exemple en 2001, on a fait avec José Monleon une association qui se nomme l’Institut International de Théâtre Méditerranéen et on a mis 24 pays en réseau. On a détourné un porte hélicoptère, détourné, c’est une façon de parler, parce qu’on l’a mis à ma disposition, j’ai réussi à convaincre un amiral roumain, de me mettre à disposition Le Constanta et on a embarqué une centaine de saltimbanques pour faire une chaine de fraternité tout autour de la Méditerranée, pour mettre l’Art à la place des canons et faire la guerre à la guerre. Ce fut une aventure exceptionnelle et unique qui n’a été possible que trois fois, en 2001, 2003 et 2007. Tout le bateau était notre scénographie ; Que les responsables politiques auraient du porter, et faire fleurir, soutenir, comme une biennale fraternelle autour de la Méditerranée. Ça été un succès d’humanité tout à fait exceptionnel. Mais Marseille 2013 nous l’a fait planter.
Certains de nos partenaires comme en Algérie se sont fait assassiner, couper le cou, car les intégristes ne supportaient pas ça. Je pense à Abdelkader Alloula en Algérie et d’autres qui se sont fait assassiner pour défendre cette liberté d’expression que nous trimballions.
Le 5 mai prochain, à l’occasion de la venue de la chanteuse Souad Massi, nous organisons dans le même esprit une fête de la fraternité. Il est temps de faire souffler un autre mistral. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu rassembler toutes les communautés qui composent cette ville, pour qu’elles finissent par se rencontrer, se parler, échanger, ne plus se faire peur, se connaître et se reconnaître, se respecter et peut-être même pourquoi pas commencer à s’aimer, ce qui ne serait pas plus mal, quoi ! C’est donc la logique de cette aventure commencée en 68.
Le Crayon – Quelle est la place accordée à l’humour, à la satire, et au rire dans ton théâtre ?
Richard Martin – Une respiration joyeuse et régulière. On va par exemple attaquer le 22 ème anniversaire d’un festival auquel nous sommes associés qui s’appelle le Festi’femmes où j’ai des amies saltimbanques comme Marianne Sergent ou Edmonde Franchi, des femmes qui ont toujours défendu aussi nos idées républicaines et laïques avec un humour exceptionnel. Je pense à Marianne Sergent qui est un peu le Coluche femme, qui est d’une intégrité et d’une intelligence rare. Donc on poursuit ces respirations. On a là, par exemple à la rentrée un gala d’humour avec Christophe Alévêque, Edmonde Franchi… des amis.
Le Crayon – Cet humour a aussi sa place dans le débat politique ?
Richard Martin – Complétement. C’est ce qui fait la différence avec les humoristes qui ne parlent que de cul. Il y a le vulgaire et il y a le sensible.
D’ailleurs dans ce théâtre sont venus travailler les hommes et les femmes, les plus importants du Monde, que ce soit pour le chant, la musique, pour le théâtre, Kantor, Barbara Hendrix, Roberto De Simone, Mathias Langhoff, et même pour le chant, Félix Leclerc ou Léo Ferré, Julios Beaucarne, nos amis poètes sont toujours là. Pour la musique, les plus grands jazz mans du monde sont venus dans ce théâtre. J’allais dire en toute discrétion, car on n’est pas dans l’entre soi, on est même très à l’écart de ce genre de truc. Curieusement, pour rencontrer un ministre à l’étranger il me faut trois jours, ici dans mon pays il me faut faire une grève de la faim.
Le Crayon – Pour conclure quel est selon toi le bien le plus précieux ?
Richard Martin – Il y a un mot qui me vient c’est la dignité. La liberté d’expression, qui t’autorise la dignité. Résister, Résister, Résister… Résister à la connerie, résister aux pouvoirs, résister à toutes les pressions, à toutes les fictions, à tout ce qui fait plier les individus, tout ce qui les humilie, tout ce qui est indigne, oui. Résister, résister aux xénophobies, quelles qu’elles soient, aux séductions médiocres… Voilà, résister, résister !
Entretien réalisé par Alexandre FAURE
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