LIBRES PAROLES : FAUJOUR, « LE PITBULL DU DESSIN DE PRESSE »
Tout le fait chier, mais un rien l’amuse ; On rit de ses dessins qui tous les mois nous réveillent dans Siné Mensuel ; mais pour lui… depuis janvier 2015 « Une chose est sûre, cette liberté gagnée dans les années soixante-dix, a pris un sacré coup derrière les oreilles. »
Le Crayon – Loïc Faujour, comment en êtes-vous venu au dessin de presse ?
Loïc Faujour – J’ai commencé tôt à dessiner. Dès le CM1, je me démerdais pas mal. À l’adolescence, quand je me suis politisé, le dessin a été une façon de m’exprimer. C’est comme ça que ça s’est fait. Tout doucement. Mais je n’imaginais pas alors que cela puisse devenir un métier.
Le Crayon – Quelles sont vos références, vos mentors en dessin ?
Loïc Faujour – Quand j’étais en seconde, on avait un pensum tous les mercredis. Il fallait qu’on lise Le Monde de l’économie. C’était un truc qui me faisait particulièrement chier. Je n’aimais pas ça. En tout cas dans Le Monde il y avait des dessins de Plantu, Konk et Chenez. Aujourd’hui, Plantu… je déteste vraiment, Konk… c’est dommage ; il est passé à l’extrême droite et je crois d’ailleurs qu’il ne dessine plus du tout. Lui par contre, était très doué. Et puis il y avait Chenez… Et j’ai commencé à regarder ça. Plus tard, en Terminale, j’ai trouvé sur le marché de mon village des albums de Reiser. Et là ça change tout. Là, le niveau monte tellement haut ! On se dit que « Waouh ! » Et petit à petit, on va dans cette direction.
Le Crayon – Dans « Dessin de presse mode d’emploi » vous définissez le métier du dessinateur de presse en trois phrases : « Avoir des idées… Un bon avocat… et un gilet pare-balles… »
Loïc Faujour – Avoir des idées… bien sûr ! De toute façon ce n’est pas la peine d’être dessinateur de presse si vous n’avez pas d’idées. Si vous n’avez rien à dire, ce qui me choque déjà, pas besoin de faire ce métier. Après il y a la façon de le dire et là il faut trouver la façon la plus originale, celle qui vous ressemble, un style, une configuration d’esprit dans l’humour qui fait que c’est original. Ce sont ces trois trucs qui font le dessin de presse. Qui font son originalité. Vous savez, on utilise toujours les mêmes thèmes depuis quarante ans. Mais il y a des gens qui trouvent une nouvelle formule pour le dire. Donc les idées c’est sûr c’est important.
Le Crayon – Et… « avoir un bon avocat ? »
Loïc Faujour – Avoir un bon avocat, parce que aujourd’hui, oui, on a des emmerdes tout de suite, avec tout le monde ; dès le premier journal, que nous avons créé en indépendant avec des amis dessinateurs. Dès la première semaine. On fait un canard où on s’émancipe de tout ce qui est groupe de presse, tout ce qui est parti politique, tout ce qui est associatif ou syndicale ; on fait un truc qui nous plait ; et tout de suite, on a trois procès.
Le Crayon – Quel était le titre du journal ?
Loïc Faujour – Zoo ! C’était un journal qui est sorti entre 1997 et 2000, très référencé Hara-Kiri. Il y avait Martin, Willemin, Berth, un peu Charb au tout début…, un peu Luz aussi, plus des rédacteurs. De toute façon, l’humour Hara-Kiri n’était plus en phase avec l’époque. L’humour Hara-Kiri était déjà passé ailleurs puisqu’il était passé à Groland. Le support n’était plus le bon je crois. Enfin, on a bien rigolé. Pour ce canard donc, oui, j’ai du aller au tribunal. Personnellement j’ai du aller trois fois au tribunal. En tout on a du avoir cinq procès.
Le Crayon – Pour quelles raisons ?
Loïc Faujour – Des gens qui se sentaient diffamés. Les juges ne retenaient pas la diffamation. J’ai gagné le procès contre Xavière Tibéri qui voulait faire interdire le journal. Mais elle a perdu. Après on a perdu contre Vanessa Demouy. Contre Céline Dion on a gagné… Il faut avoir un bon avocat. Mais ça ne suffit pas. Les frais de justice coutent tellement cher que même quand on est condamné au franc symbolique il a fallu débourser 6 000 euros pour l’avocat.
Aujourd’hui, c’est pire. À l’époque il n’y avait pas internet. Aujourd’hui tout circule très vite. Dans l’après midi le dessin a fait le tour du monde. On se retrouve au tribunal pour n’importe quoi. On n’en finit pas. Le moindre truc et c’est tout de suite le tribunal. C’est très difficile. À l’époque, on pouvait prendre des photos, les détourner. Aujourd’hui ce n’est plus possible. Donc avoir un bon avocat c’est bien, mais on se demande si ce n’est pas le fonctionnement même de la presse qu’il faudrait remettre en cause. Un avocat, aujourd’hui, il vous dit : « ça, ça, ça… on l’enlève ! » Du temps d’Hara-Kiri, c’était l’État qui portait plainte. Aujourd’hui, c’est plus l’État, c’est une myriade d’associations qui voient ceci et cela et… tout le monde attaque. Donc ça devient assez compliqué. Ce n’est pas évident.
Le Crayon – Et le gilet pare-balles ?
Loïc Faujour – On est monté d’un cran. On va très loin ! Du coup ça ne sert même plus à rien de gagner en justice comme dans l’affaire de Charlie et des caricatures de Mahomet. Le droit de blasphème est reconnu. Mais les mecs passent au dessus et disent « Très bien, la justice les reconnaît et bien nous on va faire nous même la justice. » Là… Wouf ! Moi je n’ai pas fait ce métier là pour vivre avec un gilet pare balles. Autrement je serais devenu kamikaze. Autrement, je serais mercenaire. Voilà… là… on est en plein délire. On est monté d’un cran et on n’est pas prêt de redescendre.
Le Crayon – Çà a modifié votre pratique du dessin ?
Loïc Faujour – Oui, bien sûr ! Il n’y a plus un journal qui passera un dessin sur Mahomet. Ou alors vous faites vous-même votre journal. Il n’y a pas un seul journal qui passera ça en France. Plus un seul ! Tout le monde a dit « Je suis Charlie. » « Même pas peur ! » Mais dès les trois premiers jours de l’après Charlie j’ai dit « Des dessins de Mahomet il n’y en aura plus.» Tout le monde a les jetons. On peut en parler au bar, éventuellement, mais c’est un sujet qu’on n’aborde plus. C’est évident que ça a changé. Effectivement, il faut continuer à dessiner quand même, car autrement c’est atroce, mais pour le moment la guerre est perdue. La bataille en tout cas ou la guerre, je ne sais pas ! Mais une chose est sûre, cette liberté gagnée dans les années soixante-dix, a pris un sacré coup derrière les oreilles et je ne suis pas persuadé que de mon vivant je reverrais une telle liberté.
Le Crayon – Quand vous avez débuté votre carrière, pouviez-vous imaginer que nous en serions là aujourd’hui ?
Loïc Faujour – Non. Pas possible. Pas possible, car en fait quand j’ai commencé le dessin… dans les années quatre vingt cinq, quatre vingt-huit, les dessins sur la religion on n’en faisait presque pas. Et quand on en faisait c’était sur la religion catholique. On ne faisait aucun dessin sur l’islam. Donc le retour de la religion et le retour du radicalisme, non c’était inimaginable. Cette liberté qu’on avait, avait été gagnée. Moi j’ai vécu en Bretagne dans une région catholique assez dure. On avait réussi à les mettre à genoux. On n’aurait jamais imaginé que le religieux revienne par le biais d’une autre religion. Non inimaginable… Mais maintenant, il faut faire avec, puisque c’est arrivé. Il faut tenir compte de çà. Ce n’est pas évident !
Le Crayon – Le livre que vient de vous consacrer Virginia Ennor s’intitule : « Faujour, dessinateur énervé ». Qu’est-ce qui vous énerve le plus dans le monde d’aujourd’hui ?
Loïc Faujour – Le pré mâché, la pensée politiquement correcte, le fait que personne ne pense dans les coins. Il suffit de regarder les chaines d’info en continue comme BFM ou Itélé, c’est des clichés en permanence et çà c’est très énervant.
Le Crayon – Le livre s’ouvre sur le dessin « Tout me fait Chier » qui m’a fait penser au personnage d’Alexandre le bien heureux.
Loïc Faujour – (Rires) Oui, tout me fait chier, sauf d’être allongé dans l’herbe à ne rien faire.
Le Crayon – Ce dessin s’apparente-t-il à un autoportrait ?
Loïc Faujour – Oui c’est un autoportrait, mais il faudrait juste rajouter à la phrase : « Tout me fait chier, mais un rien m’amuse. » (éclat de rire) Car il y a quand même des bonnes raisons de rigoler dans ce monde. Oui, il existe des formes de bonheur qui ne passent pas nécessairement par la pression du boulot. C’est vrai que des fois tout me fait chier, mais bon… il y a plein de choses rigolotes. Et puis, il faut se faire chier un peu dans la vie, car rien ne tombe comme ça. (éclat de rire) Tout me fait chier y compris de devoir se faire chier pour bosser.
Le Crayon – La collection des Iconovores où est paru le livre de Virginia Ennor présente les dessinateurs de presse comme des humanistes, engagés, potaches, ou cyniques. Qu’elle serait la formule qui vous conviendrait le plus ?
Loïc Faujour – Les trois. Ça dépend des jours.
Oui, un peu humaniste car je fais énormément de choses bénévoles pour des gens.
Potache, car, oui, je n’ai pas envie du tout d’être moraliste. J’aime bien aussi l’humour de Bigard et j’aime bien aussi l’humour de Desproges. Mais je n’aime pas l’humour de Lagaf. Il y a des limites quand même. Oui, potache, c’est rigolo. Mais il ne faut pas être que potache.
Cynique aussi, parce que des fois, la mauvaise foie est une pierre angulaire dans l’humour. On a le droit de prêcher le faux pour rigoler avec le vrai…
Engagé aussi, un petit peu. Mais ça dépend. Il faut faire attention avec qui. Je dessine pour la base de la C.G.T. mais pas pour le haut de la C.G.T. J’ai quitté le journal officiel de la C.G.T., je n’ai plus envie de bosser pour eux. Je ne les trouve pas sympa. La base, je les aide, je leur file un petit coup de main.
Engagé… oui, mais il ne faut jamais oublier d’être comique et drôle. C’est quand même çà la base du dessin de presse. Ne pas oublier d’être drôle. Cà c’est important. C’est très important. Tout traiter par la rigolade, y compris les choses les plus horribles.
Le Crayon – En tuant Cabu, Charb, Tignous, Honoré, Wolinski, c’était aussi l’humour, le droit de rire qui était remis en question. Quelle serait votre définition de l’humour ?
Loïc Faujour – C’est quelque chose d’essentiel pour avoir un peu de recul. C’est quelque chose sans lequel je ne pourrais pas vivre. C’est peut-être une forme de protection. Et une grande forme de communication aussi. Oui… essentiel pour vivre ! Autrement autant aller vivre en Corée du nord tout de suite ! Ce serait horrible un monde sans humour.
Le Crayon – Le rire doit-il être de « bon goût » ?
Loïc Faujour – Non ! Pas forcément… Non, il y a des gens d’extrême droite par exemple qui ont de l’humour. Le problème c’est ce qu’ils font de cet humour. Dieudonné que je n’aime pas est quand même un mec assez drôle. C’est ça qui est terrible. En même temps, il faut qu’il puisse le dire. Mais après il faut aussi être capable de lui rentrer dedans. Non l’humour de bon goût ce serait quoi ? Grand public… Non il faut des choses à la Gaspard Proust… Non, parfois, c’est tellement de mauvais goût que ça devient un vrai bonheur !
Le Crayon – Dans votre dessin « La charcuterie en 4 leçons vous évoquez Dieudonné où il fait figure d’andouille. D’aucuns s’étonnent au nom de la liberté d’expression de la différence de traitement entre l’humoriste Dieudonné qui affirmait se sentir « Charlie Coulibaly » et l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo. Que pensez-vous du fait qu’il ait été condamné ?
Loïc Faujour – Je suis contre la loi Gayssot. Je pense qu’il faut mieux laisser les négationnistes s’exprimer. Comme çà on les connaît et on peut les combattre. C’est très désagréable de se retrouver face à des gens comme çà, mais je pense qu’il faut laisser les gens d’exprimer. Il faut connaître ses ennemis si on veut pouvoir les combattre.
Le Crayon – « Faujour, c’est le Pitbull du dessin de presse. On se penche pour le caresser et il vous mord les couilles. » disait de vous Siné. Comment s’est fait votre premier contact avec l’équipe de Siné Mensuel?
Loïc Faujour – Simplement parce que Siné a été viré ! C’était en 2008. Çà faisait longtemps que j’avais dit à Siné et à Catherine que je n’aimais pas Philippe Val. Dans Zoo on avait fait huit pages contre Philippe Val. On était le premier journal à dire ce que l’on pensait de Philippe Val. Et Siné m’a appelé… « Tu veux venir bosser avec nous ? » et voilà… c’est comme çà que çà s’est fait.
Le Crayon – Jean-Michel Ribes, dit que Rire est « trace d’enfance ». Le catholicisme a marqué votre enfance. Quelle trace a t-il laissé dans vos dessins ?
Loïc Faujour – Oui dans le lycée catholique, non mixte, où j’étais en pension, le rire était une forme de provocation donc de rébellion. On rigolait beaucoup de ces curés qui étaient sur la pente descendante. Je n’avais pas de très bons résultats scolaires, mais je rigolais bien.
Le Crayon – Notre association va lancer dans les semaines qui viennent une exposition itinérante « Le F.N. au bout du crayon : Caricatures, dessins de presse et liberté d’expression »*. Cette exposition sera organisée en partenariat avec France-Cartoons (association des dessinateurs francophones) le F.I.D.E.P et la Coordination Nationale des Collectifs Citoyens qui se sont créés dans les diverses villes qui ont été conquises par le FN : Beaucaire, Béziers, Cogolin, Fréjus, Hayange… Le F.N. est-il un thème que vous abordez souvent?
Loïc Faujour – Je l’ai fait beaucoup au début. J’ai participé très tôt à des bouquins contre le Front National, comme dans « Le Pen, c’est la guerre », publié chez Régine Desforges en 1992.
Aujourd’hui assez peu. Quand j’ai une bonne idée sur Le Pen, je le fais, mais ce n’est pas un sujet que j’aborde souvent. En fait ce qui m’intéresse c’est pourquoi certains en arrivent à voter Le Pen ? Dans le village où je vis il y en a pas mal et j’essaie de comprendre. Il y a un an, un an et demi j’ai fait une planche dans Siné Mensuel, dont je suis assez content. C’était l’époque où on avait parlé des sans dents !
Le Crayon – On pourra l’avoir dans l’expo ?
Loïc Faujour – Oui !
Le Crayon – Vous êtes inquiet de la progression du FN ?
Loïc Faujour – Je ne suis pas inquiet du vote FN. Il ne passera pas. En tout cas pas ce coup ci. Même si ils chopent certaines villes. Une partie des électeurs du FN ne sont pas des militants. Ils peuvent tourner casaque et aller voter ailleurs. Dans certaines villes il va s’implanter, dans d’autres il va disparaître. Certes il ne faut pas sous estimer son implantation dans certaines villes comme Orange. Je pense qu’à Hénin-Beaumont, ils vont rester longtemps. Mais j’ai lu récemment un article dans Libération sur le maire F.N. de Cogolin. Voilà le prototype du mec autour de qui ça commence à se fissurer… dans sa propre majorité.
Je suis aussi inquiet de la façon dont un certain nombre de gens au pouvoir, font des politiques qui font monter le F.N. et après nous disent : « Prenez vos responsabilités. C’est eux ou c’est nous ! ». T’as envie de leur dire : « Regarde un peu ce que tu fais ; On ne vas pas te réélire pour que tu refasses une politique identique qui fera monter le FN encore plus haut la prochaine fois. »
Il y a une sorte de cynisme politique qui n’est pas tolérable. Mais cela étant dit, çà ne dédouane pas pour autant les idées du F.N.
Le Crayon – Pour conclure, y a t-il un dessin dont vous auriez aimé être l’auteur ?
Loïc Faujour – Ho, il y en a plein… Un seul ?… J’hésite entre Charb, Tignous et… Reiser. Bon Reiser c’est effectivement celui à qui je dois beaucoup. Mais… je mettrais quand même un dessin de Tignous que j’aime beaucoup. « Attentat de New York : On a retrouvé la boite noire à la Mecque. » Un dessin qu’il a fait après les attentats du 11 septembre 2001. Une idée formidable. C’est quand même assez balaise. C’est un dessin très, très, très fort. C’est tout Tignous !
Entretien réalisé par Alexandre FAURE
* Exposition itinérante prévue pour le printemps 2017. Cette exposition est organisée en partenariat avec France-Cartoons (Association de dessinateurs de presse francophones), ex FECO, le F.I.D.E.P (Festival International du dessin de Presse, de la Caricature et de la Satire de l’Estaque) et la Coordination Nationale des Collectifs Citoyens qui se sont créés dans les diverses villes qui ont été conquises par le FN : leRassemblement Citoyen de Beaucaire à Beaucaire, Place Publique à Cogolin, Forum Républicain à Fréjus, l’Université Populaire (l’UPOP) de la Fensch à Hayange, le CRIC – Levier d’actions citoyennes de Mantes La Ville…
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